| Dernières réponses |
|  À l’instar de l’arbre, l’homme qui arrive à son couchant
prend conscience de la fragilité de ses racines.
Alors il se dit...Aimons avant, aimons vivant.  |
|
| | Je pense à vous Papy :-) |
|
| Oui dur d' apprend le décès de son filleul ( 60 an le 10.11.09 ) crise cardiaque ... ce matin Ma tante a beaucoup de courage ( 86 ans ) troisième garçons dont elles ferme les yeux sur 11 Enfants, dont encore deux garçons en sursis...
Voila encore une preuve comme dit la Chanson " Aimons vivant "" de Frédéric François |
|
| La moitié des maux de ce monde seraient guéris si les gens reportaient sur les vivants la tendresse qu'ils témoignent pour les morts.
Je vous propose quelques réflexions à ce sujet, si important, dans l'espoir que ceux d'entre vous qui ont des bien-aimés disparus, comprendront combien ceux-ci leur restent proches.
Je voudrais également réconforter ceux qui craignent, ouvertement ou en secret, ce qu'on nomme la mort.
La mort n'existe pas. Cette hideuse obsession de l'humanité n'est qu'une imposture crée de toute pièce par l'entendement humain. Ces morts que j'appelle " les invisibles ".
Nous quittons notre corps, comme un vieux vêtement usé, notre moi
que l'on appelle âme part dans des dimensions différentes.
 |
|
| Oui chaque jour est un jour de joie, " Nous avons une place dans le coin à gauche, et puis ce n'ai que passage, nous aurons la joie de les retrouver
( cela en gagne que moi dans cette pensée )
  |
|
| faire son deuil pour moi c'est tout ....sauf l’oubli.
Faire le deuil ce n'est pas oublier la personne qu'on a perdue . c'est accepter son départ ( même si c'est très dur) et apprendre à vivre avec
prendre un jour à la fois .... |
|
| C’est la capacité de reconnaître que nous sommes tous vulnérables et que nous ne pouvons que l’accepter. C’est aussi savoir lâcher prise sur notre soi-disant pouvoir de tout contrôler.
Accepter l’inéluctable est en somme une forme de sagesse.
Dans la vie il faut vivre un jour à la fois et accepter le bonheur quand il passe.
|
|
| Pour moi, c'est déjà dépendant des relations entretenues avec la personne disparue.
En gros, il s'agit de prendre conscience de l'irréversibilité. Mais surtout de prendre conscience que je suis moi-même mortel, et que ce temps arrive.
En plus de la prise de conscience, il faut accepter. Accepter que l'on ne reverra plus l'être aimé, jamais. Et accepter sa propre fin comme inéluctable.
Surmonter cela n'est pas transparent.
Les cicatrices sont présentes, et il faut accepter aussi de vivre avec elles.
Il faut accepter qu'elles déforment notre visage, notre corps. Mais en interne. Ce ne sont pas des cicatrices qui se voient, ce sont des cicatrices qui se sentent. |
|
