Dernières réponses | | Je me demandais bien ce qui pouvait ainsi briller dans votre alpage. En m’approchant davantage, j’ai réalisé que c’était votre création. Saviez-vous, cher ami, que certains secrets de l’univers achèvent de se cristalliser dans vos créations! ( toiles et écritures) Félicitation et claquement de talons! |
| | hé, t'as pas vu la trogne de missise Tas de chaires |
| | tres bien décrit :-) |
| | Lorsque l'on a 16 ans, le visage des filles de notre âge est lisse et appétissant. Nous y lisons l'avenir, le plaisir, la passion, le refus amusé. Lorsque l'on a 20 ans, le visage des jeunes femmes est lisse et coquin, avec encore une part de princesse inabordable. Lorsque l'on a 40 ans, le visage de la femme est accompli et tendre, le sourire est établi, définitif. Du moins le croit-on. Lorsque l'on a 50 ans, le visage de la femme est soucieux, mais d'une beauté à couper le souffle. On y lit les joies et les malheurs, l'acceptation et la douleur. Lorsque l'on a 50 ans, le visage des filles de 16 ans est lisse et attendrissant. Il fait ressurgir les souvenirs des jours doucereux de notre adolescence. Lorsque l'on a 50 ans, le visage des femmes de 20 ans est l'image du doute assumé. Lorsque l'on a 50 ans, le visage des femmes de 40 ans commence à afficher le passage du temps. Et l'on sait que ce sourire n'est pas définitif. |
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