Dernières réponses |
| Merci Tao ! Tiens ! J'ai voulu envoyer un MP à un membre, mais ce me fut impossible. Seulement l'aperçu de mon message ? Bonne journée !
Message édité le 25-10-2005 à 08:46:28 par Jipi |
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| Non, je ne t'ai pas oublié. J'ai simplement moins de temps: Beaucoup plus de travail, et en plus je deviens plus lent à faire les choses. Alors forcément, je fais moins de choses! Mais n'hésite pas si je peux t'aider, ce sera avec plaisir, suivant mes disponibilités. |
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| Bien dis Jipi ;-) |
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| Merci Quarkenciel !!! Merci Tao ! Comme tu ne venais plus à moi (petit coquin qui m'abandonne...), je viens à toi (je prépare une surprise forumesque, car les autres forums... basta !!!). Je te raconterai et j'aurai besoin de ton aide ! Mais je te rassure tout de suite : je ne suis pas venu ici pour ce forum d'ailleurs loin d'être prêt, mais parce que j'avais sincèrement envie de te dire que je ne t'avais pas oublié ! Si toi avoir oublié moi, moi pas obligé d'oublier toi quand même !!! |
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| re bonjour jipi. Content que tu saches que tu es ici chez toi. Et bravo pour ton livre! Merci de nous donner toutes les coordonnées! (editeur, etc...) |
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| Merci aussi à toi Vicky ! |
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| Merci Jipi , contente de te lire :-) |
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| Un petit bonjour à Tao en passant... Ce poème extrait de mon premier livre « Sillage de Tendresse » est un poème sans ponctuation à lire d'une seule traite ! Bonne chance ! Blague à part, vous percevrez que chaque vers a un lien avec celui qui suit... je vous passe les détails... plus compliqué que cela !!! On peut lire pour le simple plaisir des mots...» loin du temps brille la rive infinie où bat la chaleur comme le sang palpite morcelé sous mes paupières brûlées puisque toutes fines sur les yeux au vif blessées dans la vision du feu qui me chancelle et me frappe un grand vent de poussières blanches sur la plage à l'écorce pétrifiée près de l'océan telle image flamboyante longue flamme au bord de ma sécheresse seule criée où la mort est suffocante lumière entre mes os souffle l'ardeur du mirage dans le fou incendié sans l'homme ou elle tente humide ma bouche torride caresse la mer reflue vers son regard me dépouille la solitude de tes pas mouillés sur le sable ombre de ta chair vivante fraîcheur mais inacessible comme une aile de l'oiseau rapace tournoie dans le plomb du ciel couleur écarlate aux fissures de bleu sur ton empreinte tarie et je te pressens aveuglée comme moi par l'espace de braise lèche nos peaux d'un grand coup de soleil métal jaune incandescent ou rets qui nous torturent |
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