Sujet : Le bonheur... |
|  Posté le 30-04-2006 à 08:37:34
| La clef du bonheur c'est ...
Qu'elle est votre "recette" du bonheur en une phrase, ou un mot (pourquoi pas) ?  |
|
| Posté le 30-04-2006 à 13:29:16
| abandon maîtrisé
|
|
| Posté le 30-04-2006 à 20:05:26
| changer ses habitudes mentales.
|
|
| Posté le 30-04-2006 à 22:10:14
| Le plaisir
|
|
| Posté le 01-05-2006 à 01:45:53
| j'aime bien l'idée d'abandon maîtrisé mentionné par tao, je va
|
|
| Posté le 01-05-2006 à 01:50:24
| le renouvellement permanent de soi, dans le sens d'une curiosité et d'un enchantement enfantin.
|
|
| Posté le 01-05-2006 à 05:42:11
| être bien ds sa peau :-)
|
|
| Posté le 01-05-2006 à 17:40:17
| De vivre un jour à la fois...
|
|
| Posté le 02-05-2006 à 02:17:27
| Et d'être conscient de tout les "petits" instants de joie/plaisir dont cette journée est toujours faite.
|
|
| Posté le 02-05-2006 à 06:28:15
| de s'accepter tel qu'on est :-)
|
|
| Posté le 02-05-2006 à 16:25:13
| Certains cherchent toujours le bonheur !
alors que d’autres…
le bonheur les trouve toujours !
|
|
| Posté le 03-05-2006 à 21:11:08
| En effet, le bonheur fini toujours par nous retrouver en autant que nous soyons disponible à le recevoir.
|
|
| Posté le 03-05-2006 à 21:23:47
| Le bonheur fait parfois peur... Peur de le perdre.
|
|
| Posté le 04-05-2006 à 00:31:34
| Absolument! Alors pour ces gens, mieux vaut ne pas le rencontrer....
|
|
| Posté le 04-05-2006 à 06:13:02
| En règle générale, ils s'arrangent pour le fuir, ou tout du moins ne pas le laisser s'approcher.
D'autres veulent l'approcher, et se plaignent qu'il les fuit, alors qu'en fait ce qu'ils poursuivent n'est pas le bonheur.
Compliqué tout ca...
|
|
| Posté le 04-05-2006 à 09:25:32
| Comme disait Gainsbourg : "Fuir le bonheur de peur qu'il se sauve..."
|
|
| Posté le 04-05-2006 à 21:09:16
| Dana a écrit :
Comme disait Gainsbourg : "Fuir le bonheur de peur qu'il se sauve..." |
Bonne conclusion... 
|
|
| Posté le 04-05-2006 à 22:20:14
| Bien souvent, le bonheur est inversement
proportionnel à la hauteur de nos attentes.
|
|
| Posté le 05-05-2006 à 01:08:06
| Le bonheur est dans l'absence de sa recherche.
|
|
| Posté le 06-05-2006 à 09:52:26
| En pianotant sur le web j'ai trouver ça sur le bonheur :
"Toute chose peut être conçue de deux manières, selon qu'on la considère dans le temps ou dans l'éternité. C'est le cas aussi du bonheur. En tant qu'il est conçu dans le temps, le bonheur est changement, et l'on nous dit " heureux ou malheureux suivant que nous changeons en mieux ou en pire " (Éthique , V, 39, scolie) SPINOZA
Donc le bonheur est forcément passager car inscrit dans le temps. Ce qui se conçoit par rapport à l'éternité serait plutôt la béatitude, l'extase, l'ataraxie, la quiétude, l'éveil quoi...
|
|
| Posté le 06-05-2006 à 10:39:18
| Par rapport à l'éternité, se pourrait être aussi une erreur.
|
|
| Posté le 06-05-2006 à 12:34:21
| Non, car cela s'expérimente paraît-il...
|
|
| Posté le 06-05-2006 à 14:37:31
| Comment peut-on expérimenter l'éternité?
|
|
| Posté le 06-05-2006 à 19:15:31
| Dans son inexpérimentation?
|
|
| Posté le 06-05-2006 à 19:18:59
| Donc, il s'agit d'exérimenter par la foi. Je ne pense pas que ce soit compatible.
|
|
| Posté le 07-05-2006 à 02:12:37
| si nous avions aucun mot pour l'éternité, aucune notion de ce qu'est l'éternité, peut être que nous aurions une autre approche.
|
|
| Posté le 07-05-2006 à 10:05:07
| Comment expérimenter ? Par exemple par l'extase...
[img]www.rodolpheviemont.com/ images/Le-Bernin.jpg[/img]
|
|
| Posté le 09-08-2006 à 22:14:11
| le bonheur? n'est ce pas de savoir que l'on vit.
Ainsi, à chaque évènement que je vis, ne suis je pas heureux de savoir que je suis?
|
|
| Posté le 10-08-2006 à 21:05:26
| Un évènement peut être douloureux. Très douloureux. Insupportable.
Il est sans doute des évènements qui nous font regretter de savoir que l'on vit.
|
|
| Posté le 10-08-2006 à 23:28:09
| Pas si 'lon arrive à se détachr des choses.
Une fois qu'on est libre de toutes choses,
Comment celles ci pourraient me nuire, si j'en suis détaché?
|
|
| Posté le 11-08-2006 à 02:38:22
| Imagines-toi par exemple sous l'inquisition, attaché à la roue, te faisant arracher les ongles un à un, introduire des fers rougis dans le fondement, et autres joyeusetés du même tonneau.
Penses-tu pouvoir te détacher de lévènement suffisamment pour ne garder que la joie de vivre?
|
|
| Posté le 11-08-2006 à 15:23:48
| Hélas je n'ai pas eu cette chance.
Pr contre combien de fois je ne me suis pas fait tabasser, humilié et autre bêtises...
Ca oui, ai je réagis? non .
Avant de connaitre le Tao, enfin avant de connaitre LAo tzeu, j'ai connu Confucius, et avant eu il y a de ça plus de trois ans, j'ai connu ce qu'on pourrait appellé l'école Stoïcienne.
Ahhh le bonheur de voir que quelqu'un y avait déja pensée avant moi et en mieux!!!
Dans ma vie, l'on pourrait croire que je fais exprès d'attirer le malheur et les mauvaises situations, et pourtant, me détachant des choses, je ne réagis pas comme on l'éspèrerait.
Sous la torture, je pense que je guelerais comme un porc, et que je regretterais surement ma miserable vie.
PAr contre je ne pense pas que je regretterai mon combat, puisque celui ci est plutôt invisible, et que mes actes, font de moi quelqu'un d'invisible.
Non je ne suis pas assez fort pour la torture, ni pour toute choses extrême, c'est pour ça que je cherche le constant, pardonnez moi la récupération, dans ce monde en perpetuel mouvement.
|
|
| Posté le 11-08-2006 à 16:46:39
| Nous sommes complètement en accord.
Pour ne pas affronter les situations qui pourraient nous déplaire, il vaut mieux les éviter.
Mais ne risque t'on pas, en procédant ainsi, de passer à des choses palpitantes, passionnantes?
Ne risque t'on pas de restreindre notre champ d'action de plus en plus, et ceci même si nous serions encore capables, physiquement, d'aller plus loin?
|
|
| Posté le 11-08-2006 à 18:34:07
| J'aimerai , être sans prétention, mais, Le tao te King, m'a fait découvrir quelque chose de vraiment palpitant: la Voie, ou le sans nom et sans visage.
LE constant, la paix et la sérénité.
|
|
| Posté le 11-08-2006 à 20:58:19
| La prétention, c'est quoi? Est-ce de la timidité ou de l'orgueil?
|
|
| Posté le 12-08-2006 à 01:26:01
| C'est parce que je bloque sur ce sujet
que je suis si gêné peut être
|
|
| Posté le 12-08-2006 à 06:02:58
| Le plus difficile est de ne pas se laisser aller à la facilité: ne pas considérer que tout le monde est mauvais lorsque l'un commet une mauvaise action.
Il est difficile aussi de ne pas se laisser aller à l'envie: pour cela, évitons la comparaison.
Nous participons, voire créons un grand paradoxe: ne vivre qu'une fois sur une planète merveilleuse, et gâcher l'essentiel de ces moments par des pensées non productives. 
|
|
| Posté le 13-08-2006 à 10:36:09
| 
Tao dit :
Pour ne pas affronter les situations qui pourraient nous déplaire, il vaut mieux les éviter.
Mais ne risque t'on pas, en procédant ainsi, de passer à des choses palpitantes, passionnantes?
Ne risque t'on pas de restreindre notre champ d'action de plus en plus, et ceci même si nous serions encore capables, physiquement, d'aller plus loin?
Et aussi comment reconnaitre, ce qui pourrait nous "déplaire", si nous n'expérimentons pas ??..... (( Bien sure ; par ceci, j'entend des expériences de vies, servant d'apprentissages et non ce qui mettrait en danger de "mort" ))
|
|
| Posté le 15-08-2006 à 23:31:29
| Il me semble aussi qu'on peut manquer de belles choses en étant trop timoré.
Mais je me demande à partir de quand le sage se retire et évite ainsi les problèmes ?
Devient-on sage parce qu'on a bien expérimenté la vie ou parce qu'on a su éviter les situations susceptibles de nous envoyer sur des fausses pistes ou de nous anéantir définitivement.
Le Dalaï Lama n'a pas expérimenté beaucoup de choses (à part sa fuite du Tibet et des affaires politiques) puisqu'il a été éloigné du monde dès l'enfance et pourtant on dit de lui que c'est "un océan de sagesse"...
|
|
| Posté le 23-08-2006 à 21:02:11
| Oui et c'est pour cela que c'est étonnant et que ça pose questions.
|
|
| Posté le 23-08-2006 à 21:34:52
| Certains, rares il est vrai, qualifient cette aura de snobisme.
Je n'ai quant à moi aucune idée de la chose.
Qu'en pensez-vous?
|
|
| Posté le 23-08-2006 à 21:52:15
| Je n'avais jamais vu ça sous cet angle... Faut voir. Sur quoi basent-ils pour parler de snobisme ?
|
|
| Posté le 27-08-2006 à 17:15:33
| C'est vrai quark. Mais les arguments des "détracteurs" ou du moins des critiques se tiennent aussi... On ne peut pas nier que les pratiques exotiques telles que le bouddhisme, taoisme et autres sont relativement nouvelles dans nos sociétés.
Dire que les religions "traditionnelles" n'ont plus la côte est faux. Le nombre de catholiques, juifs et musulmans ne cesse d'augmenter.
Mais en dehors de leurs terres de prédilection.
En fait, ils disent que l'herbe est plus verte ailleurs. Ce n'est pas faux.
Quant à la sagesse du Dalai Lama, je ne peux la mesurer, n'ayant jamais été suffisamment proche de lui pour apprécier.
Je pense qu'il doit être un homme sage.
|
|
| Posté le 28-08-2006 à 15:05:10
| Je comprends ce que tu veux dire Tao, on est attiré par ce qui vient de loin, par l'exotisme, moins ça nous est proche plus on aime.
On dirait que la convertion rend la foi plus profonde, plus mystérieuse.
ça fait penser à la chanson de Brassens "tempête dans un bénitier" qui explique que l'abandon du latin à la messe a été une erreur fatale pour captiver et intéresser les fidèles (parcequ'ils du coup comprennaient tout...).
Extrait :
"Ils ne savent pas ce qu'ils perdent tous ces fichus calotins,
sans le latin, sans le latin le messe nous emm....
A la fête liturgique
Plus de grand's pompes soudain
sans le latin, sans le latin
plus de mystère magique.
Le rite qui nous envôute
s'avère alors anodin
Sans le latin, sans le latin
et les fidèles s'en foutent...
la suite :
http://www.georges-brassens.com/brassens.htm
(Chanson : tempête dans un bénitier)
|
|
| Posté le 28-08-2006 à 18:45:50
| Oui effectivement, je suis d'accord avec votre point de vue. 
|
|