| Dernières réponses | |  Je me dis que parfois, il faudrait des "écoles à vivre"...
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| | Je n’écris pas au sens strict du terme,
je laisse plutôt vagabonder mon esprit.
Mes proches m’ont tenu les mêmes propos.
Je me suis renseigné et je trouve le monde de
l’édition passablement asservissant.
Wawa est une petite bête qui a vu le jour,
libre comme l'air, et il n’aime pas que les règles
du jeu lui soient imposées.
Alors...il fait des ronds dans l’eau!
Vicky au coeur affable, la réclusion n’est pas la solution.
Il faut continuer à avancer, sans chercher à changer les
autres, tout en se faisant respecter.
Bien aiguiller, il y va de l’âme!
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| | justement plus que tu t'éloignes tu fais ta propre prison à toi mais je me demande s'il vaut pas mieux vivre comme ca que de vivre avec de mauvais gens ....
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| | Je n'en reviens pas. Tu me surprends toujours wawa.
Puis-je te redemander si tu écris et si tu es édité?
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| | Trop souvent, nous considérons l'illusion du monde
matériel comme parfaitement réelle et cette croyance
devient notre prison.
Voici d'ailleurs, une petite modulation sur l’illusion…
Ismaïl était un homme discret et réservé.
Si réservé qu’il paraissait différent des autres.
Une différence qui est d’ailleurs rapidement devenue
insupportable pour la collectivité. Abscons…!
Ainsi, dès que quelque chose n’allait pas dans le village,
c’est le pauvre Ismaïl qui en subissait les retombées.
Il est devenu pour ainsi dire, la bête noire,
«celui à qui on jette la première pierre».
Plus il recevait de pierres, plus son regard devenait anguleux.
Et plus son œil devenait anguleux, plus il recevait de pierres.
Au début, il mettait les pierres dans sa petite valoche; mais
en moins de deux, elle est devenue exiguë.
Puisqu'il était fort astucieux, il puisa dans les franges du non
manifesté, une idée qu’il considérait comme géniale.
Ainsi, il a pris la décision de construire une maison avec toutes
ces pierres qu’il recevrait.
Mais, bien évidemment, il recevait beaucoup plus de pierres
qu’il n’en faut pour ériger une maison, il commença alors à les
placer tout autour de sa maison.
Et il trouva une fois de plus, son idée fort ingénieuse, car tout en
construisant une muraille autour de sa maison, qui le protégeait
des pierres qu’il recevait; cette même muraille le soustrayait
également du regard malveillant des gens du village.
Malheureusement, son bien-être ne dura que très peu de temps,
car il a, sans tarder, pris conscience que ce mur qui le protégeait
si bien, n’était en définitive que pleutre illusion,
car il était papelardement devenu sa prison!
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| | C'est le clochard qui a tout a révé sous l'influence des coups de cloche.
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| | Comme d'habitude, beau texte, bien écrit, superbement rythmé.
Quant aux questions, elles ont la particularité de pouvoir avoir la même réponse.
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| | très très bon Wawa merci :-) humm très bonnes questions !!!
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| | À la grande horloge au rutilant balancier de cuivre,
minuit vient de sonner lourd lourdement ses douze coups...
La riche héritière, qui depuis quelques nuits, ne trouve pas le
sommeil, demande à son chauffeur de sortir la limousine noir de
jais, pour la conduire le long de la Seine.
Cette nuit, la lune semble frileuse; elle s’est glissée dans un léger
châle tissé de bourres nuageuses.
À peine arrivée, la dame aperçoit sur la berge du fleuve, un clochard,
qui parait s’être trouvé un endroit pour passer la nuit. Il s’enroule
dans un cartonnage qu’il aura sans doute glané pendant la journée,
et il se couche.
La riche dame demande au chauffeur d’arrêter. Elle descend la glace
teintée de la voiture et dit au misérable :"Mon pauvre homme, vous
n’allez pas passer la nuit sur la berge?''
-''Mais oui, répond le clochard.''
Comme cette situation lui était insupportable, elle demande à son
chauffeur de ramener cet homme à son manoir. De retour chez elle,
elle intime son majordome de donner à son invité un bain chaud, un
bon repas, et un lit confortable où il pourra passer la nuit.
Puis, avant d’aller se coucher, la rentière voulant savoir si tout était
parfait, frappe à la porte du clochard, puis s’enquiert de son bien-être.
Ça va dit-il, mais je ne trouve pas le sommeil.
Peut-être avez-vous besoin de compagnie!
Poussez-vous je vais prendre place auprès de vous dans le lit.
L’homme, tout émoustillé, recule un peu pour faire de la place, et, il
tombe dans la Seine…il ne sait pas nager!
Au même moment… la grande horloge au balancier de cuivre, vient
de sonner lourdement ses coups...
Est-ce la dame qui a rêvé la réalité du clochard ou
est-ce le clochard qui a rêvé la réalité de la dame?
Est-ce l’illusion qui s’est fait réalité, ou
est-ce la réalité qui s’est fait illusion? |
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