| Dernières réponses |
|  Forces et faiblesses sont bien relatives.
Il est juste malin d'utiliser celle qui est la plus adéquates. 
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| contente que tu aies retrouvé le chemin :-)
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| Un jour ma soeur, cadre dans les hautes tours de la defense à Paris, en voyage dans notre fief familliale de St Malo m'a dit:
gwen tu es faible! Quel force dans le propos,me suis je dit!
je me suis donc dit, et bien, je vais donc voir la force du faible sur cette forte personne!
Je lui ait fait la tête, comme un enfant, elle n'existait plus à mes yeux, il n'a pas fallu moin de deux heures, pour qu'elle demande pardon toute honteuse d'avoir voulu être si forte!
cette faiblesse est devenu force, juste en niant l'existence de celle ci! j'ai bien rit.
Sinon j'ai une autre histoire bien plusinterressante, je vous en ferais part bien plus tard, car j'ai bien hâte de voir tout les sujets que j'ai raté pendant ma petite abscence 
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| Toutàfaidac! 
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| Une des idées qui m'a marqué dans ce que j'ai pu capter dans le tao, c'est la force de la faiblesse.
La faiblesse du nouveau né qui aliene les plus forts, celle de la vallée qui vers laquelle tout s'écoule. C'est là où finalement tout se crée et pousse.
Sans parler du vide, du non-être....
La faiblesse ne se détermine pas contrairement à la force. Elle reste pleine de potentialités.
Et la force de toutes façons déclinera.
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| Stikan a écrit :
Imaginons quelqu'un qui aurait compris tout ce qu'Enstein a compris - mais qui ne l'aurait dit à personne. C'est bien plus fort. |
Les "forts" ne s'embarrassent pas des possibles conséquences néfastes de leurs actes. Et Robespierre et Napoléon et Hitler se croyaient dans leur bon droit de marquer l'histoire de leur "génie".
Ps : moi j'appelle un fort celui qui sort du lot et qui peut orienter sa trajectoire hors de l'anonymat pour arriver à mener des hommes (ou des expérience pouvant modifier la vie des hommes) à plus ou moins grande échelle.
Ps bis : je me réjouie du coup d'avoir été dotée par la vie d'une nature "faible". Et je jouie de + en + de mon "inutilité".
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| Je parlais précisement de la force physique, celle qui permet d'imposer des idées sans convaincre.
La force des faibles physiquement se trouve dans leur cerveau. Si les forts se servent de leurs muscles, il est naturel que les faibles se servent de leur cerveau. Alors ils démontrent la futilité des des muscles face à une force bien plus grande: la radioactivité dans l'exemple.
La recherche d'équilibre crée le mouvement, et cela est naturel et donc inévitable.
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| Pierre et marie curie ont été irradiés par leurs expériences.
Einstein a permis la bombe atomique.
Quelle aurait été l'histoire s'ils n'avaient pas voulu être si forts dans leur domaine ? Quelle sera l'histoire maintenant qu'ils l'ont fait ?
Est-ce qu'ils étaient trop aveugles pour ne pas pouvoir imaginer tout ce que les hommes pouvaient faire de leurs découvertes ? Bien sur que non.
C'est la contribution des forts. Leur faiblesse - c'est ce qui les pousse à vouloir contribuer.
Imaginons quelqu'un qui aurait compris tout ce qu'Enstein a compris - mais qui ne l'aurait dit à personne. C'est bien plus fort.
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| Mais que je sache, Einstein, Pierre et Marie Curie, et tant d'autres, n'avaient rien de colosses.
La faiblesse et la force sont relatives...
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| Tao a écrit :
Et il serait curieux de voir la contribution des faibles dans les progrès et le bien être de l'humanité. |
Les faibles n'ont pas choisi d'être faibles.
En fait de contribution, les faibles servent au moins de chair à canon aux forts qui marquent l'histoire de leur inoubliable empreinte.
Ils peuvent servir aussi de cobaye pour les expériences des génies scientifiques, de main d'oeuvre pour les plus entreprenants, ou de sujet d'étude pour les théories et les statistiques.
En fait sans les faibles les forts seraient bien en peine de pouvoir jouïr de leur puissance.
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