| Dernières réponses | |  oui c'est vrai que les personnes agées aiment bien nous mettre leur bagage sur le dos ma mère essaie en tout cas mais je suis là pour l'aider et l'écouter mais apres que je suis sortie de chez elle j'essaie de mettre son ti bagage qu'elle m'a donné ds un placard sinon j'en ferait une maladie , faut que je pense à ma santé aussi  
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| | Grande sagesse Mamy. Les personnes âgées ont tendance à vouloir nous associer à leur malheur et à leurs souffrances.
Or, à chaque âge ses plaisirs, et ses souffrances. Il faut garder à l'esprit que nous vivons NOTRE vie, et ne laisser personne nous faire vivre SA vie.
C'est parfois difficile, car les sentiments nous rendent esclaves si nous n'y prenons garde.
Mais ce n'est pas seulement envers les personnes agées. Dès que nous sommes liés affectivement, nous risquons d'être soumis à la volonté de l'être aimé.
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| | Dans ma famille cette question se pose , au sujet de ma maman 81 ans.
Ses problèmes, ses malheurs d'autre fois, dans ma prime jeunesse, cela m'impressionnais, je pleurais.
Maintenant à mon âge, je l'écoute, mais je ne participe plus à ses malheurs, pour moi le passé n'existe plus.
Si je veux être négative, pessimiste, je trouverai sans peine mille et une raison pour justifie son attitude.
Je ne laisse pas ces conditions m'influencer, c'est comme avoir mille et un fusils pointés sur moi.
Mais a part cela , je respect et j'aime ma maman. 
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| | oui je sais Tao faut faire attention de pas prendre le problême et se le mettre sur le dos car ca n'aide pas personne :)faut essayer de trouver une solution
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| | Je ne parlais pas seulement de cela.
Je voulais particulièrement mettre l'accent sur le fait qu'aider peut parfois revêtir des formes différentes, mais qu'en tout état de cause il faut être prudent à ne pas alimenter le problème plutôt que le résoudre, à l'absorber plutôt qu'aider l'autre à s'en séparer.
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| | Juste le fait d'être là pour l'écouter compte beaucoup , lui faire savoir que la personne n'est pas seule ....
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| | Aider c’est savoir écouter…………… Aider c’est ne pas juger…………… aider c’est accompagner………….
Des fois nous voudrions prendre sur nos épaules le malheur d’un parent ou d’un ami mais ce n’est pas possible.
Aider c’est être disponible…………….
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| | Extrait du journal d'Atouts site, pour le visiter entièrement, 
Nous sommes parfois confrontés à un cas de conscience : comment aider cette personne qui compte pour nous ? Elle est là devant nous, nous montrant sa peine et sa douleur en voulant la cacher, nous implorant de ses yeux meurtris, croyant que nous avons les mots, les gestes, pour soulager sa douleur... Et nous, nous assurons notre regard... nous ne voulons pas qu’il fuit, qu’il trahisse l’angoisse énorme qui nous étreint : Nous ne savons pas quoi faire. Alors nous faisons un pas vers elle. Nous absorbons un peu de sa peine, croyant qu’en en prenant un peu, le fardeau sera moins lourd. Mais c’est une erreur. La véritable souffrance ne se transvase pas, elle se transmet. Nous ne l’aidons pas, et nous faisons du mal. Alors nous culpabilisons : nous pensons ne pas avoir fait ce qu’il fallait, quand il fallait... Souvent, la personne en souffrance agit à son insu de façon dictatoriale, estimant être le centre du monde. Elle ne le fait pas exprès, elle souffre, et ressent notre envie de l’aider. Les choses se font de façon non maîtrisée, ni d’un côté, ni de l’autre. L’engrenage est alors en route, les situations douloureuses s’enchaînant les unes aux autres, sans qu’il nous paraisse possible de l’arrêter. C’est alors qu’il faut prendre le recul nécessaire pour se rendre compte de la situation, et changer de perspective, d’angle "d’attaque".
Si l’on veut aider cette personne, alors il nous faut guérir d’abord de la plaie qu’elle nous a infligée ; puis rechercher la seule véritable cause, la cause première... les autres n’étant que des conséquences aggravantes.
Là, il faut avoir la clairvoyance, et parfois le courage de parler franchement, mais avec tact, à la personne que l’on veut aider. Il faut éviter de transmettre à son tour des sentiments exacerbés. Dire les choses de façon claire, sans fioritures, sans âpreté ni condescendance, sans démesure. Puis laisser au temps la possibilité de faire son ouvrage, sans faiblir.
Suite:
Mais parfois, si l'on s'entête à vouloir sauver celui qui ne peut l'être, ne risque t'on pas d'en devenir le complice, ou pire le catalyseur?
Ne risquons-nous pas de banaliser ses agissements, à tel point que nous le confortons plutôt que lui ouvrons les yeux?
L'action d'aider uniquement par la compréhension et le dialogue, sans jamais notion de "punition" est elle viable?
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![](javascript:citer('Tao', 'Extrait du journal d\'Atouts site, pour le visiter entièrement, [url=http://www.globetao.com/SPIP/][img]http://perso.wanadoo.fr/atouts.site/taocliquer.gif[/img][/url] <br /> <br />Nous sommes parfois confrontés à un cas de conscience : comment aider cette personne qui compte pour nous ? Elle est là devant nous, nous montrant sa peine et sa douleur en voulant la cacher, nous implorant de ses yeux meurtris, croyant que nous avons les mots, les gestes, pour soulager sa douleur... Et nous, nous assurons notre regard... nous ne voulons pas qu’il fuit, qu’il trahisse l’angoisse énorme qui nous étreint : Nous ne savons pas quoi faire. Alors nous faisons un pas vers elle. Nous absorbons un peu de sa peine, croyant qu’en en prenant un peu, le fardeau sera moins lourd. Mais c’est une erreur. La véritable souffrance ne se transvase pas, elle se transmet. Nous ne l’aidons pas, et nous faisons du mal. Alors nous culpabilisons : nous pensons ne pas avoir fait ce qu’il fallait, quand il fallait... Souvent, la personne en souffrance agit à son insu de façon dictatoriale, estimant être le centre du monde. Elle ne le fait pas exprès, elle souffre, et ressent notre envie de l’aider. Les choses se font de façon non maîtrisée, ni d’un côté, ni de l’autre. L’engrenage est alors en route, les situations douloureuses s’enchaînant les unes aux autres, sans qu’il nous paraisse possible de l’arrêter. C’est alors qu’il faut prendre le recul nécessaire pour se rendre compte de la situation, et changer de perspective, d’angle "d’attaque". <br /> <br />Si l’on veut aider cette personne, alors il nous faut guérir d’abord de la plaie qu’elle nous a infligée ; puis rechercher la seule véritable cause, la cause première... les autres n’étant que des conséquences aggravantes. <br /> <br />Là, il faut avoir la clairvoyance, et parfois le courage de parler franchement, mais avec tact, à la personne que l’on veut aider. Il faut éviter de transmettre à son tour des sentiments exacerbés. Dire les choses de façon claire, sans fioritures, sans âpreté ni condescendance, sans démesure. Puis laisser au temps la possibilité de faire son ouvrage, sans faiblir. <br /> <br />[g]Suite:[/g] <br />Mais parfois, si l\'on s\'entête à vouloir sauver celui qui ne peut l\'être, ne risque t\'on pas d\'en devenir le complice, ou pire le catalyseur? <br />Ne risquons-nous pas de banaliser ses agissements, à tel point que nous le confortons plutôt que lui ouvrons les yeux? <br />L\'action d\'aider uniquement par la compréhension et le dialogue, sans jamais notion de "punition" est elle viable?'); "Citer ce message")